Mais cette domination a un prix que des milliers d’utilisateurs paient aujourd’hui : une performance en berne, une complexité écrasante et, pire que tout, un verrouillage propriétaire (le « lock-in »). comme pour DIVI
Chaque nouvelle version de WordPress rend cet ancien « roi » plus vulnérable. L’arrivée de WordPress 6.9, avec ses performances natives et ses nouvelles API, n’est plus une simple mise à jour. C’est le signal qu’il est temps de s’affranchir de cette prison dorée. Voici mon analyse d’expert.
Argument 1 : Le « Lock-in » (Le piège du shortcode [fusion_...])
Le test qui fait peur :
Désactivez le thème Avada
[fusion_builder_row], [fusion_text], [fusion_title].Votre contenu n’est pas en HTML. Il est « traduit » par le Fusion Builder. Votre contenu ne vous appartient pas ; il appartient au thème.

Gutenberg enregistre en HTML propre
Votre contenu est libre
Avec Gutenberg, vous êtes libre. Avec Avada, vous êtes prisonnier.
Argument 2 : La Performance
(Le « Monolithe » contre le « Modulaire »)
La « Fusion Core »
L’obésité d’un système « tout-en-un »
C’est un « monolithe ». Il est lourd par conception. Il plombe votre score PageSpeed Mobile (LCP, TBT) avant même que vous n’ayez ajouté la moindre image. Vous passez votre temps à essayer de « patcher » la lenteur d’un système qui est structurellement obèse.
WordPress 6.9
La performance native
« à la demande »
La stack moderne (Gutenberg + Greenshift/Blocksy) est modulaire et légère par défaut. C’est une approche que le « tout-en-un » d’Avada ne peut, par définition, pas concurrencer. Votre propre site (webmaster67.fr) avec 100/100 en performance mobile en est la preuve vivante.

Votre site Avada vous ralentit ?
Argument 3 : L’Innovation
(Le jardin fermé contre l’océan)
L’innovation
« Fusion » vs L’innovation « Core »
- Chez Avada : L’innovation vient d’une seule équipe (ThemeFusion).
- Chez WordPress : L’innovation vient de toute la communauté (les équipes Core, les développeurs de Greenshift, Kadence, Bricks, etc.).
- L’API d’Interactivité : Permet de créer des expériences riches (filtres, popups) sans rechargement. C’est le futur, et c’est natif.
- Les « Notes » de Collaboration : Un outil de relecture d’agence, intégré au cœur de l’éditeur.
- L’IA (Abilities API) : L’IA s’intègre au « Core » de WordPress, pas comme un simple ad-don payant.
Conclusion
Comment s’évader de la « prison » Avada ?
La migration est une reconstruction,
pas une conversion
[fusion_...], il n’y a pas de bouton magique pour migrer. C’est un travail technique qui consiste à extraire le contenu brut et à reconstruire les mises en page sur une fondation saine.C’est un investissement, oui. Mais c’est le prix à payer pour regagner sa liberté, diviser ses temps de chargement par trois et construire sur une plateforme qui a un avenir.
Si je désactive Avada, est-ce que je perds tout ?
Vous ne perdez pas votre contenu texte brut (il est dans la base de données), mais vous perdez toute votre mise en page. Vos pages deviendront un amas de shortcodes [fusion_text] illisibles. C’est le « lock-in ».
Mon site Avada fonctionnera-t-il avec WordPress 6.9 ?
Oui, il fonctionnera (tant que ThemeFusion assure la compatibilité). Mais c’est le cœur du problème : vous serez « bloqué » dans votre écosystème lourd, sans bénéficier d’aucune des innovations de performance, d’interactivité ou de collaboration de WordPress 6.9.
Le « Fusion Builder » n’est-il pas plus puissant que Gutenberg ?
C’est une illusion. La stack moderne Gutenberg + un plugin de blocs pro (comme Greenshift) est aujourd’hui tout aussi puissante pour 99% des besoins (design, mises en page complexes, responsive) tout en étant infiniment plus rapide et plus légère.
La migration est-elle compliquée ?
C’est une opération technique, car il faut « nettoyer » le contenu de tous ses shortcodes [fusion_...]. C’est une reconstruction manuelle, mais c’est la seule voie vers la performance et la liberté.



